vendredi 28 septembre 2007

Meknès, Le Musée Dar Jamaï


En 1920, Le Musée Dar Jamaï est installé dans un bâtiment datant de 1882 qui doit son nom au Vizir Abou Abdellah Mohamed Jamai, grand vizir du Sultan Moulay Hassan ler...
D'architecture somptueuse, comprenant des décors de Zellige, de bois peint, de plâtre sculpté, le musée abrite une collection de l'artisanat Meknassi, du Moyen Atlas et du Pré-Rif : sculptures sur bois, tissage, broderie, ferronnerie, orfèvrerie, dinanderie, maroquinerie…

jeudi 6 septembre 2007

Tétouan, la grotte de Kaf Taht El Ghar

Située à 7 km au sud est de Tétouan. Elle fut découverte et explorée en 1955 par Tarradell.
Les sondages entrepris dans ce site en 1984 et les compagnes de fouilles de 1989 et 1994 ont montré que cette grotte a été occupée durant l'époque pré et protohistorique.
Cette grotte est surtout connue par ses diverses occupations qui sont rattachées au Néolithique ancien cardial, au Néolithique récent, au campaniforme, à l'âge du bronze et à la période Historique.

mardi 4 septembre 2007

Meknès, le Borj Belkari

Le Borj Belkari fait partie de la muraille Ismaélinne construite par le sultan Moulay Ismail (1672-1727) qui longe l’avenue Zine El Aabidine et l’avenue Abdellah Chefchaoueni.
Le Borj Belkari est l’un des principaux monuments de la ville de Meknès et donc été choisis pour abriter le musée de la poterie pré-rifain.

Agadir, histoire de la ville

Les Portugais s’y installèrent en 1513, mais la guerre sainte conduites par les princes saâdiens les chasse en 1541 après un terrible siège de six mois.
Les Alaouites s’en emparent à leur tour au 18ème siècle et, pour punir leurs habitants, rebelles à leur autorité, décident de fermer le port et de transférer toutes les activités maritimes à Essaouira, ce qui plongera Agadir dans un sommeil léthargique jusqu’au début du 20ème siècle.
En 1930, la ville deviendra l’une des étapes de l’Aérospatiale : Saint-Exupéry et Mermoz y faisaient escale avant d’entreprendre la traversée de l’Atlantique.
Le terrible tremblement de terre de février 1960
(qui, en 15 secondes, ensevelit 15 000 âmes) n’est plus qu’un mauvais souvenir. La ville, qui s’étend aujourd’hui au pied de la vieille kasbah, a vu sa population tripler depuis le cataclysme (population actuelle : 350 000 habitants).
Entièrement reconstruite, Agadir est devenue une ville moderne également très prisée des Marocains qui apprécient son ambiance cosmopolite.